Toute bonne maison devrait posséder le succulent ouvrage de mamie Grossouvre. De même, tout gastronome de l'esprit devrait lire le dernier Antipresse, où figurent un bel essai de Jean-François Fournier sur la maladie de la haute cuisine ainsi que ma réponse au "taisez-vous!" que m'a imprudemment adressé un journaliste du Temps.

Pour ceux qui ne seraient pas encore abonnés, cette réponse se trouve sur le blog d'Antipresse, en texte et vidéo.